viernes, 20 de septiembre de 2013

Conseil Autonome de la Zone Cotiere du Chiapas

Le Conseil Autonome de La Zone Côtière du Chiapas est une organisation civile formée par des communautés et quartiers qui se sont déclarés en résistance depuis plusieurs années, ce conseil se consolide comme une modeste mais efficace instance régionale qui est né il y a 7 ans pour les besoins d´un tarif de l´énergie électrique juste et préférentiel pour l´état du Chiapas. C´est un mouvement anti systémique qui a écouté la Sixième Déclaration de la foret Lacandon et adhérente à l´Autre Campagne-

Il s´est établit le 13 septembre 2007, avec des relations transcendante avec le Front Civique de Tonala, exemple de lutte et soutien moral, politique et idéologique tout comment l´est l´ezln et d´autres organisations sociales indépendantes et autonome. Elle se compose de familles de la région pour trouver des solutions aux demandes des peuples de la zone.

La force du mouvement est né a partir de la résistance contre les tarifs d´électricité et pour la demande d´une tarif juste. Il est paradoxal que l´électricité générée au Chiapas représente la moitié de l´énergie hydroélectrique produite au Mexique, et qu´un tiers de la population ne compte pas avec ce service électrique. L´organisation de la cote se défini comme autonome car elle ne dépend d´aucun groupe extérieur, mais dans sa structuré forme et mode de travail elle est en plein accord avec ses intégrants et représentants" déterminés avec les expériences des années qu´ils ont en résistance contre les abus des mauvais gouvernements. Le conseil régional est intégré par 22 communautés des municipalités de Pijijiapan et Tonala et 8 quartiers de la ville de Tonala. Certains ont commencé leur lutte depuis des années en s´opposant aux abusifs tarifs d´électricité, qui existent dans la région. Avec le temps "nos exigences ont augmenté dut a l´exploitation, expulsion et oubli des gouvernements et du système capitaliste"

Aussi nous nous disons indépendants car nous ne dépendons de personne pour subsister, seulement de nos membres actifs et des communautés adhérents et autogérée car tous les frais et subsistances dépendent des intégrants et non pas des ressources venant d´autres.-

 
CEUX QUE NOUS DEMANDONS:

+ Avant tout un tarif juste pour l´électricité pour le Chiapas et ensuite pour tout le Mexique, tout comme l´annulation des dettes de tous les usagers sans aucune condition, et le maintien des réseaux énergétiques abandonnés par la Commission Fédérale d´Electricité-

+ Via l´autre campagne nous avons unis nos demandes aux organisations en résistance contre les abus de la CFE dans d´autres région comme celle des Hauteurs, Zona Norte, Frontière et foret Lacandon. Nous participons au réseau de la résistance civil " la voix de notre cœur" au niveau de l´état.

+ Nous demandons la liberté des prisonniers politiques et de conscience dans tout le pays, et l´annulation des ordres d´appréhension aux lutteurs sociaux, l´accomplissement des accords de san andres, et le droit à l´autonomie.
 
+ Egouts, eau potable, pavimentation des routes, écoles dans les communautés, contre la hausse du panier de la ménagère (tortilla, gaz, aliment, essence) non à la militarisation, agressions et menaces ni ici ni contre les compagnons zapatistes et de l´autre campagne

+ Solidarité avec les travailleurs de luz y fuerza du centre


+ Respect aux droits de la femme



PLUS D INFORMATION

Conseil autonome fr 7 ans


Le 13 septembre dernier, dans la ville de Tonala, une manifestation se déroulait pour célébrer le septième anniversaire du Conseil Autonome Régional de la Zone Côtière, adhérents à la Sixième Déclaration de la Foret Lacandon de l´EZLN, intégrée par  les habitants de la municipalité de Tonala, parmi lesquels se trouvent, les Vendeurs ambulants, fixes et demi fixes, le Syndicat indépendants des tricycles, et la Société Coopérative Indépendante d´Industriels de la farine et la Tortilla, "Bersain Hernandez Zavala". Mais aussi de communautés de pécheurs et paysannes de la municipalité de Pijijiapan et Mapastepec, qui sont en résistance contre les hauts tarifs d´électricité.
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Aux organisations Nationales et Internationales,
A l´EZLN
Aux Juntas de Buen Gobierno,
Aux adhérents à la Sixième Déclaration,
Aux organisations de Droits de l´homme Nationales et internationales,

Compañeros, Compañeras,

Recevez nos salutations fraternelles et combatives depuis ce coin de notre pays qui est le Mexique, ceux qui conforment cette organisation, composée de paysan-e-s, ouvrier-e-s, pécheurs, femme au foyer, industriels de la farine et tortilla, distributeurs, tricycliste, vendeurs ambulants, étudiants, nous voulons vous dire ces paroles de résistance et de rébellion.

Nous voyons comme le gouvernement de Enrique Peña Nieto et ses alliés du PRI, PAN, PRD et autres essayent de mettre fin de mille et une formes notre pays, en le vendant au plus offrant, c´est à dire au messieurs d´argent, et aux entreprises qui viennent seulement sur nos terres pour nous déloger, et exploiter ce qui est notre.

Nous voyons depuis la cote du Chiapas avec attention comment ils sont, là-haut, à imposer leur lois et leur reformes pour nous déloger et nous priver de nos droits, nous voyons les professeurs indigné-e-s et protestant contre la stupidité gouvernementale qui prétend privatiser l´éducation et réduire les droits de ceux-là, qui fut un bastion important dans notre pays, les professeurs.
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Nous voyons aussi qu´à n´importe quel cout ils ont essayé d´approuver la réforme énergétique pour privatiser et vendre l´électricité aux mains du capital privé, tout comme le pétrole et continuer de donner des concessions a la lumière du jour, aux entreprises minières pour exploiter les ressources qui sont dans nos terres, sans les importer, qu´elles sont à nous.
Nous voyons comment le gouvernement fédéral essaye de déséquilibrer le mouvement de résistance organisé dans tout le pays, via la répression en usant la force publique. La prison pour nous faire taire. Mais face à ça nous continuons de résister et à nous organiser.

Nous voulons profiter pour vous dire que ce 13 septembre 2013, nous célébrons notre septième anniversaire comme organisation, qui lutte, qui résiste, et on trouve facile, d´être arrivé à célébrer nos 7 ans, et que malgré tout nous sentons que nous murissons jour après jours, et bien que nous ayons eu des moments difficile, nous ne nous sommes jamais rendu, nous ne nous sommes pas désisté nous ne nous sommes pas tus, et nous ne nous tairons pas, malgré la pression du gouvernement contre nous et contre nos peuples organisés nous continuons à résister.

Nous voulons vous dire que demain, le 13 septembre, nous ferons une marche de protestation mais aussi de fête pour notre anniversaire.

Nous voulons également faire connaitre notre exigence au tribunal collégial de Tuxtla, et notre énergique appel pour qu´il décrète la liberté immédiate au Professeur Alberto Patishtan qui a souffert de l´injustice du système Mexicain en étant enfermé injustement depuis plus de 12 ans.

Nous exigeons au gouvernement fédéral qu´il cesse la répression contre ceux qui se manifestent de manière pacifique et civile contre les reformes gouvernementales et aussi qu´il mette fin aux attaques et aux agressions  aux activistes, lutteurs sociaux, journalistes indépendants qui récemment ont été attaqués par la police et CRS juste pour dire la vérité et pour lutter pour exiger leur droits.

Nous envoyons nos salutations et solidarité a nos frères déplacés de l´Ejido Puebla Chenalho, qui ont souffert des agressions du mauvais gouvernement, qu´ils sachent qu´ils ne sont pas seuls et que leur exigences et voix sera écouter par ceux qui depuis le bas, luttent et résistent pour un pays meilleur, pour un monde meilleur.

Non à la reforme éducative que nuit à nos peuples
L´électricité comme droit de l´homme
Tarif juste de l´électricité
Liberté immédiate a Alberto Patishtan Gomez

Depuis la cote du Chiapas


Conseil autonome regional de la zone cotiere Chiapas

La Experiencia zapatista un textimonio A. Aubry la jornada


La experiencia zapatista: un testimonio 
 

Andrés Aubry

Ahora Chiapas "está peor que antes del primero de enero de 1994" rezan los sabios de la oficialidad federal y estatal. ¡Cómo no! ¿Acaso el EZLN no había profetizado el desastre del campo aquel día del arranque operativo del TLC? ¿No es el saldo previsible del incumplimiento de los Acuerdos de San Andrés, o de aquél de la Ley del 11 de marzo de 1995 sobre el diálogo, al obstinarse el gobierno a perpetuar los medios militares en vez de buscar una salida política que iría a las causas del conflicto?

Nunca antes hubo tantas parcelas sin sembrar y tantos migrantes a Estados Unidos por desesperación, tanta fraccionalización de las organizaciones con todo y "reconciliación", tanta división en las comunidades polarizadas por una meticulosa guerra sicológica, ni tanto abandono del Estado por delegar tácitamente sus funciones al ejército, y renunciar a desmantelar a paramilitares. ¿Desde cuándo una guerra mejora las cosas?


Y, sin embargo, existe otra evidencia contraria: la práctica zapatista de una resistencia pertinaz, creativa, por la reflexión que genera la rebeldía (la lucha también es productiva de conocimiento), va revirtiendo la tendencia. Los zapatistas y no zapatistas de las comunidades que están dentro de la órbita de los Caracoles y su gestión, ya viven mejor que antes del primero de enero. Están más atendidos que en los años anteriores a 1994, más animados porque ven una salida concreta del túnel, y, aun con una innegable (pero digna) austeridad, cosechan ya los primeros beneficios de opciones promisorias. 
  
 

Una sociedad y un gobierno zapatistas, no un Estado zapatista
Los recientes informes de las JBG o Juntas de Buen Gobierno (y sus reportes cifrados, consultables por los carteles públicos en el auditorio de los Caracoles y en cada local de los consejos municipales autónomos), o el reportaje de Gloria Muñoz (suplemento dominical del 20 aniversario de La Jornada) son mucho más que el reflejo de un gobierno rebelde, son el espejo de la nueva sociedad que alumbra, y va construyendo la práctica zapatista. Sin esta contextualización, se arriesga errores de interpretación sobre el proyecto político zapatista promulgado el 9 de agosto de 2003 en Oventic.
Lo primero es que se trata de la expresión de un gobierno no ejercido por una clase política. Las JBG son rotativas y agarran desprevenido a cada nuevo gobernante: "todos fuimos gobiernos" reza la sexta parte del "video" que las presenta. Esta opción procura una constante reinyección y promoción de las bases, sin privilegiados ni profesionales del poder. En todas sus instancias (CG del EZLN encargada de insurgentes y milicianos, comandancias que recogen y dan forma a las grandes opciones políticas del zapatismo, JBG y consejos autónomos más cercanos a las bases de apoyo), estamos en presencia de otrogobierno, aquél que surge del mandar obedeciendo, uno sin afán de poder (de mandar, reprimir y vencer), bien distinto de la teoría del Estado modelado por las ciencias políticas. Los zapatistas no han tomado el poder, tan sólo han construido niveles y ámbitos de gobierno alternativo en el que la rebeldía de las bases "tiene, en todo tiempo, el inalienable derecho de alterar o modificar la forma de su Gobierno" (artículo 39 constitucional); el único en tener poder y soberanía sigue siendo "el pueblo" (misma referencia). En las innovaciones organizativas del EZLN no hay ningún capricho sino sólo la señal de una radicalización progresiva de la aplicación reflexionada de textos fundadores, como por ejemplo, la Constitución (en su versión original) y los Acuerdos de San Andrés.


Y lo otro es que testimonia una práctica social que refleja una sociedad campesina, también otra, alternativa, no "cerrada" ni "corporativa" según la clásica y caduca definición de los antropólogos, sino abierta a todos los mundos. Es innegablemente campesina pero está atravesada a diario por vientos y gentes de todo el país (la mayoría llega del campo, del México rural) y de varios continentes. Si bien su gobierno es zapatista, está para todos cuantos viven dentro del territorio del Caracol y lo respetan, sean o no zapatistas, desde la JBG y consejos autónomos, desde sus clínicas, sus sistemas internos normativos (por ejemplo me encontré con polleros presos sin cárcel, en rehabilitación con trabajo comunitario), o desde sus buenos oficios ya señalados en recientes comunicados. Su apertura universalista no lo exime de fomentar las solidaridades pueblerinas cuyos mundos, aun distantes del zapatismo, caben también dentro de su propio mundo no tan local. 
 

esteban utrera
El sótano de la economía capitalina
No han faltado teóricos aliados del EZLN que han confesado su reticencia y decepción ante un proyecto tan humilde, hasta tan simple, que ven como muy lejos de la meta "contra el neoliberalismo, por la humanidad". Quienes compartimos nuestro tiempo entre los libros y el campo estamos más tranquilos que ellos.
El primero en detectar e identificar el sistema-mundo de nuestra economía fue Fernando Braudel (quien, después, inspiró a otra voz mayor, la del comprometido Immanuel Wallerstein). El primero, el patriarca de la historia nueva, en los tres voluminosos tomos de su historia del capitalismo --el cual hace remontar al siglo XV--, se queja más de una vez de que a los historiadores no les importa el comer, la atención de la parcela, las futilidades de la vida cotidiana, que, sin embargo, tejen la historia verdadera, la vivida.

En el completo edificio del sistema-mundo, Braudel distingue varios pisos, desde su lejana génesis hasta nuestros días. El techo que lo cobija es el Estado que, en sus inicios, no es sino un modesto tapanco. Abajo de él, los principales responsables ocupan el piso superior, aquél de los negocios, luego y pronto el de los bancos, y de todos los cazadores de capital. Pero existe en la base el piso bajo, al nivel de la calle del suburbio o de la vereda del campo, habitado por víctimas que también son actores porque, desde y con ellos, se ha ido gestando el sistema que nos aqueja. Es el universo del campesino, de sus parcelas de cultivo, de sus migraciones, de la lucha por la vida, de los niños de la calle (ya desde el siglo XVIII), del encuentro con policías y soldados de todas las banderas tan retratado por los maestros de la pintura flamenca, el pequeño mundo de la cárcel, del patio o del taller del artesano, de la mesa cotidiana con sus frustraciones, de casas sin muebles y sin bienes.

Braudel le dedica un tomo entero que intitula "las estructuras de lo cotidiano"; es el escenario de "la civilización material", su rez-de-chaussée a ras del suelo, omnipresente en la base del edificio del sistema-mundo, siempre cruzado en persona por los agentes del capitalismo, o sus intermediarios y sus viles manos largas o caciquiles, un lugar estratégico, pues, y hasta cognitivo, pero olvidado por los historiadores (y tantos otros): el de los de abajo, allí donde todo se gesta ¡hasta el capitalismo! En una comida compartida con Wallerstein, le pregunté: "¿Y por qué tanto interés suyo por el zapatismo?" Me contestó: "Todo lo nuevo que va a durar así empieza, así empezó el capitalismo". ¿Por qué no sería también desde allí, desde las opciones antisistémicas a ras del suelo del ezln, que empezará su fin, ya a la vista según el mismo Wallerstein?

En la fase en que están los zapatistas, la meta es la instauración de los Caracoles.
jamaica

 

Una nueva sociedad

Este octubre de 2004 es otro aniversario, el 30avo de la celebración del Congreso Indígena de 1974. Lo menciono porque, cuando me presenté por primera vez a una JBG, uno de sus miembros me reconoció, identificándome enseguida porque me asociaba a ese evento. En aquel entonces, las "estructuras de lo cotidiano" que se escogieron para estudiarlas y transformarlas se desplegaron en cuatro ejes: la tierra, el comercio, la salud y la educación.
Estos cuatro ejes siguen siendo las prioridades que movilizan la gestión de las JBG. La tierra es todo un mundo, que va desde la madre que cobija a mis muertos hasta el suelo que se cultiva o es robado por la finca, de la semilla hoy agredida por patentes y transgénicos hasta los recursos naturales. El comercio es la piratería mercantil de los coyotes del campo y de los negocios transnacionales que también piratean la agroalimentación. La salud, afectada por las enfermedades curables que matan. La educación, deseducada por el sometimiento de la escuela convencional y su aparato de desciudadanizacióon, desenfocado de las problemáticas locales y regionales vividas por el alumnado y sus familias.

El primer eje se sintetiza en torno a la agroecología es decir una vía campesina (no una agricultura industrial), liberada de la dependencia y de la contaminación de los agroquímicos. Un bello mural de Oventic que se puede disfrutar desde la carretera (en donde, en enero de 1996 cuando la fundación del entonces Aguascalientes II, mujeres y niños zapatistas corrieron las tanquetas del ejército como ganado) despliega el esplendor de la diversidad varietal del maíz chiapaneco.

Un ejemplo más: en otro Caracol más lejano, la JBG comisionó a uno de sus miembros para acompañarme porque quiso agilizar la coordinación y los contactos de un proyecto recién aprobado. La mala brecha pasaba ante un banco de arena trabajado. Pregunto: "Y estos dos trascabos ¿qué hacen?". Me explica que son de una dependencia gubernamental porque a ella le toca el mantenimiento de este tramo, y al Caracol otro tramo (sin los trascabos del gobierno). "Pero, el banco ¿de quién es?". "De nosotros" respondió con orgullo. Insisto, pensando en el proyecto que motivaba nuestras andanzas: "¿Y cuánto cobran?". Casi se ofuscó el JBG: "¡Entre zapatistas la naturaleza no se vende!" La agroecología gestiona racionalmente los recursos naturales, vigila que la cantera no sea un desastre ecológico como aquél de los bancos de arena que desfiguran el entorno de San Cristóbal y le quitan su agua; no se hace negocio con una riqueza que es de todos.

El segundo eje es el comercio alternativo. Canaliza el trabajo de las artesanas tejedoras, las botas de los zapateros zapatistas, crea redes comerciales para el café y la miel. Como son cultivos orgánicos, cobran un valor agregado que amplía la oferta; como prescinde de los coyotes rurales o industriales, exportándose directamente a Suiza, Francia, Alemania, Bélgica, Canadá y Estados Unidos, en un intercambio más justo entre clientes y cafetaleros, los gastos de intermediación casi no existen (por el voluntariado internacional de los asesores comerciales de la cooperativa), lo que aumenta notablemente la retribución del productor.

Este piso bajo de la estructura de base del productor es estratégico porque esta "civilización material" brinca ya el segundo nivel del negocio --nacional e internacional-- del edificio económico mediante sus redes. Los traileres que surcan los caminos de las cooperativas zapatistas enseñan que el intermediarismo escandaloso va transitando hacia un mercado de intercambio equitativo, cuyo resultado es ya una mejoría del nivel de vida del productor de abajo.

La salud empieza por lo primero: la prevención de enfermedades, no sólo por campañas de vacunación (a veces aleatorias por la vulnerabilidad del biólogo a la incomunicación de las comunidades) sino también por la higiene del hogar y de los alimentos, y por la formación de equipos de salud comunitaria, sin lo cual la curación sería irremediablemeente repetitiva. Y no olvida lo último, que es la rehabilitación del enfermo. Además, es alternativa porque no desperdicia los recursos tradicionales de "la medicina de hierbas" (racionalizada en laboratorios) y su cálido entorno sico-social-somático que asocia a la familia del enfermo y genera una nueva relación entre el médico o sus auxiliares y los pacientes.

En un nicho discreto de la selva, existe un pulcrísimo edificio de colores alegres, con amplios corredores y patios entre recámaras y consultorios; en su quirófano operaron las mejores y más diestras manos de Chiapas y personalidades médicas nacionales y extranjeras. Tiene espacios para hospedar y alimentar a familias de pacientes, y otros para el estudio, talleres, reuniones. Semeja más un centro anfitrión comunitario que un hospital. Los pacientes no llegan cohibidos sino como si fuera un hogar donde saben que la atención será cálida. La dirección no es médica sino campesina, coordina mantenimiento, cocina, laboratorios, atención a enfermos y también a doctores (todo de paso), campañas de vacunación y la esencial relación con las comunidades de su amplia área. Allí, en cuanto apenas aclara el día, es como una colmena activa, se amanece con el escandaloso bullicio de los pájaros de la selva pero también con el canto tarareado del personal. Al manifestar mi extrañamiento por tanta alegría, me contestaron con toda naturalidad: "Por supuesto, la salud es vida" y se celebra a diario.

El último eje sin ser menor es la educación. Su tarea no es distribuir el saber sino aprender a saber, comprender, enfrentar los problemas, identificarlos y aprender a resolverlos aun si se presentan de improviso. También es un aprendizaje, desde el aula de la democracia (artículo 3, inciso II, letra a de la Constitución) y de la autonomía, no con recetas sino viviéndolas. El clima educativo es tan central como su contenido.


Conozco a promotores de una escuela secundaria que, tres años antes no sabían hablar español y por tanto no leían. Ahora algunos son ratones de biblioteca, el cuento tsotsil de otro ya fue premiado por una instancia académica evidentemente no zapatista. Quisieron celebrar el tercer aniversario de su nueva chamba de voluntarios de la educación. Se hizo la oscuridad en el salón, se prendió velas, se oyó en sordina el canto chamula del Bolonchón (la serpiente-jaguar en tsotsil) y la lectura, por su autor, de varios poemas en los que todos se identificaban. Luego, otro promotor agarró su guitarra y le ofreció un recital de su composición. Sin concluir todavía su primer ciclo de tres años, esta escuela zapatista había parido ya a un cuentista, un poeta y un cantautor. 
 

Los Caracoles construyen con zapatistas y no zapatistas una sociedad campesina alternativa, siembran cariño a su tierra, producen, van venciendo poco a poco la enfermedad endémica del campo, y generan conocimiento y arte desde abajo. En ellos nada se hace sin pensamiento. De ellos no sale enriquecimiento pero sí una deslumbrante dignidad, se restaura lo humano magullado por el neoliberalismo. Quien se atreve a decir que Chiapas hoy es peor que en 1994 nunca ha pisado suelo comunitario, ni ha visto brotar sus reflexionadas y atinadas alternativas. No sólo le va mejor, ya es otro.

jueves, 19 de septiembre de 2013

La Ciudad Dual

La Ciudad Dual
André Aubry.

Bernal Diaz del Castillo explica como San Cristobal de Las Casas nacio de un recio combate que lastimo a los conquistadores con perdidas, heridas y un repliegue estratégico, luego se fundo en 1528 con pobladores que huian del escarmiento indigena de la Chiapa de Los Indio (hoy de Corzo), Por lo tanto, debian organizar su defensa : sabian que todos los cerros boscosos que la dominan estaban poblados de enemigos potenciales e invisibles, En tles condiciones, las soluciones tradicionales consisten en buscar un lugar elevado con defensas naturales : pero optaron por la innovacion de construir en el fondo de un valle y en la mira del posible enemigo, pues querian agua, terrenos de cultivo y ciudad formal, o de construir murallas ; sin embargo, empezando desde la nada, no tenian los recursos para la costosa inversion de fortificaciones, Ingeniaron algo insolito, sin paralelo, al construir un conjunto urbano dual, indigena / espanol y una ciudad fortificada sin murallas con un escudo humano (figura 1 y 2),

La primera defensa fue el espacio, Sabian que los rebeldes potenciales no podian caer de repetente sobre la nueva ciudad sin previamente franquear, al norte, grandes extensiones de zacataes al descubierto, en donde no podian pasar desapercibidos, En el sur, su asentamiento gozaba de la proteccion natural del conjunto pantanoso bien llamado « Salsipuedes », conformado por las lagunas de Chapultepec, Maria Eugenia y la Ciénega, que desempenaron un papel de foso en torno a un castillo. Por consiguiente escogieron el centro del valle.

Se asentaron entre dos rios, entre dos rios, en aquel entonces « caudalosos » y de « buenas aguas » ante del superpoblamiento y el desmonte/ Ademas prohibieron a todos, incluso a los dominicos cuando llegaron en 1545. La construccion de puentes. Esto fue su segunda proteccion.

Entre el rio y el centro residencial regalaron sitios a sus aliados indigenas (Meixcanos y Tlaxcaltecas). Asi como hoy en dia el finquero latifundista protege el casco de su hacienda y sus mejores tierras de invasiones ejidales – al obsequiar parcelas a sus pistoleros, amantes, bastardos y comisariados comprados- Ls promeros pobladores fundaron progresivamente las seis vigias de los barrios indigenas. Estos fueron su tercera proteccion. A partir de 1546, les obsequiaron terreno de cultivo entre el rio y el barrio 'construyendo' asi su cuarta defensa sin muralla. Se dieron el lujo de una quinta proteccion : entre los barrios indigenas y las escasas cuadras del centro residencia espanol prohibieron toda construccion. Un cinturon verde constituia el ulti,o colchon protector de la nueva ciudad. Refinaron todavia mas su estrategia de disuasion : entre barrios y centre, en medio de los campos interiores pero bien comunicados con la ciudad residencial, colocaron conventos religiosos.

Los mercedarios en 1537 al poniente, los dominicos en 1546 al norte y los franciscanos en 1577 al sur. Esta ultima tuerca de seguridad era una defensa diplomatica, ya que a los religiosos les competia exclusiva,ente la atencion al ca,po indigena, mientras que los seculares se dedicaban por completo al servicio del centro espanol. En caso de conflicto con el entorno indigena, los frailes como los barrios, tendrian que dar la cara ara defender su convento, pero con la ventaja de contar con muchos amigos entre los naturales conversos.

Esta estrategio dio a San Cristobal su cariz unico de la ciudad dual (centro espanol y periferia indigena), con su mosaico de barrios caracterizados por su origen etnico y por su atencion religiosa. Desde el centro la poblacion espanola controlaba la ciudad guarecida dentro de sus fortificaciones sin murallas y asegurada por su diplomaca con religiosos de por medio.

Los setenta fundadores inventaron una ultima defensa indolora. Esta parca poblacion de solteros ofrecia poca seguridad y la convertia en un bocado facil para los pueblos de indigenas hostiles/ Por lo tanto, resolvieron en 1529 enviar una comision a Mexico para importar a doscientas mujeres indigenas. Un sigo despues, la estrategia demografica fue la de preferir a negras y mulatas cuando se i,portaban esclavos, porque los reproducian gratis. Esta nueva poblacion femenina, ultima muralla humana, vino a cambiar con el tiempo el destino de San Cristobal.

Texto completo:

CARZCCH

Que es el CARZCCH

El Consejo Autónomo de la Zona Costa de Chiapas es una organización civil, formado por comunidades y barrios que se declararon en resistencia desde hace años, este consejo se consolida como una modesta pero eficaz instancia regional que nació hace 7 años por la necesidad de una tarifa de energía eléctrica justa y preferencial para el estado de Chiapas. Siendo un movimiento anti sistemico que ha escuchado la Sexta Declaracion de la Selva Lacandona y adherido a la OTRA CAMPAÑA.

Se estableció el 13 de septiembre de 2007, apunta, con referentes muy transcendentales como el frente cívico tonalteco " ejemplo de lucha, apoyo moral, político e ideológico" al igual que el EZLN y otras organizaciones sociales independientes y autónomas. Aglutinando a familias de la región, para dar solución a la demanda de los pueblos de la zona
La fuerza del movimiento surge a partir de la resistencia al pago de la luz y la demanda de una tarifa justa. Siendo algo paradójico ya que la electricidad generada en Chiapas representa alrededor de la mitad de energía hidroeléctrica producida en México, aunque 1/3 de la población no cuneta con este servicio eléctrico. La organización costeña se define como autónoma " porque no depende de algún otro grupo exterior, sino que su estructura forma y modo de trabajo están con pleno acuerdo de sus integrantes y representantes", determinados por "las experiencias de los años que llevamos en resistencia contra los abusos de los malos gobiernos". El consejo regional esta integrado por 22 comunidades de los municipios de Pijijiapan y Tonala y ocho barrios de la ciudad de Tonala. Algunos iniciaron su lucha hace años oponiéndose a las abusivas tarifas eléctricas, que se cobran en la región. Con el tiempo "nuestras exigencias han crecido debido al rezago explotación, despojo y olvido de los gobiernos y el sistema capitalista."

También se dice independiente porque no depende de nadie para subsistir, solo de sus miembros activos y comunidades adheridas y autogestivo porque todos sus gastos y subsistencia dependen de la aportación de cada integrante, no de recursos provenientes de otros lados.


QUE DEMANDAMOS:
+ Inicialmente tarifa justa de energía eléctrica para Chiapas y pronto para todo Mexico, asi como la cancelación de los adeudos a todo los usuarios in ningún condicionamiento, y el mantenimiento de las redes de energía abandonadas por la Comisión Federal de Electricidad.

+ Mediante la otra campaña hemos unido nuestras demandas a organizaciones en resistencia contra los abusos de la CFE en otras regiones como Altos Zona Norte, frontera y selva lacandona. Participando en la red estatal de resistencia Civil "la voz de nuestro corazón"

+ Demanda de la libertad de los presos políticos y de conciencia en todo el país y la cancelación de ordenes de aprehensión a luchadores sociales, el cumplimiento de los acuerdos de san andres y el derecho a la autonomía.

+ Alcantarillado sanitario, agua potable, pavimentación de los caminos, escuelas en las comunidades, contra el alza de precios de la canasta basica(tortilla, gas, alimentos, gasolina,) no a la militarización, agresiones, amenazas, ni acá ni a los compañeros zapatistas o de la otra campaña.

+ Solidaridad trabajadores de luz y fuerza del centro

+ Respeto a los derechos de la mujer



Leer el comunicado a 7 años de resistencia:

“Tierra, terruño, territorio”

“Tierra, terruño, territorio”

Andrés Aubry (1 y 4 de junio 2007, La Jornada)
1. La defensa de territorios indígenas. En el país ya no hay puertos de pesca, se convirtieron en estacionamiento de yates, una millonada que no sirve a sus dueños sino sólo un par de semanas al año. Ni playas para pescadores, se las tragaron los hoteles. Ni bosques y selvas, sino escenarios artificiales ya contaminados para el distinguido turismo de aventura. Ni pastizales, sino terrenos de golf; ni ríos, sino drenajes abiertos; ni paisajes campesinos, sino parques turísticos; ni paisajes callejeros de antoñonas ciudades, sino disneylandias coloniales. La Conquista neoliberal arrebata tierras como hace 500 años, destruye terruños para construir territorios regalados a cosechadores de divisas.

La tierra en un sentido amplio es el planeta Tierra que Edgar Morin llama la Tierra Patria; los indígenas, la Madre Tierra; Saint-Exupery, la Tierra de los Hombres. En concreto, el terreno con el cual uno toma raíz en ella es una realidad necesariamente colectiva de quienes la trabajan y la garantía de la libertad de quienes la habitan: Tierra y Libertad. Como la calle y la libertad que en ella normalmente circula, no es de nadie, porque es el espacio colectivo de todos los que la animan, en ellas se expresan, gozan o luchan, le dan vida.

El terruño es la patria chica, mi memoria desde la niñez, lo que añoran el migrante y el exiliado, lo que sepulta mis muertos, lo que el Principito llama su rosa con su compañero el zorrito: la materialidad, la vida y la animalidad del hombre y la humanización de la materia, de la vida y del animal hospedados en este terruño. Terruño es inseparable de cariño.

El territorio es el espacio reapropiado por un pueblo, el patrimonio del first people, el pueblo originario que lo ha habitado y modelado en el transcurso de los siglos (acuerdos de San Andrés y Convenio 169 de la OIT), el que alberga la raíz y las ramificaciones actuales de su historia. Tiene y genera soberanía.

Tierra, terreno, terruño y territorio (banamil, osil, y la secuencia lum, jteklum, lumaltik de los tzotziles y tzeltales) y lo que contienen no se venden ni se compran ni se confiscan porque son de los muchos que le deben su existencia colectiva, histórica, cultural, un bien colectivo transgeneracional, la garantía de la existencia futura de quienes los marcaron y los siguen marcando de su sello per secula seculorum. Juntos son una herencia cósmica, un llamado histórico, una memoria activa.

Esto, nos lo recordó la comandanta Kelly en San Cristóbal al salir para la decimoprimera etapa de la otra campaña, el 25 de abril de 2007, identificándola como la Defensa del Territorio: Para los pueblos indígenas, campesinos y rurales, la tierra y el territorio son más que trabajo y alimento: son también cultura, comunidad, historia, ancestros, sueños futuro, vida y madre. Pero desde hace dos siglos el sistema capitalista desruraliza, expulsa a sus campesinos e indígenas, cambia la faz de la Tierra, la deshumaniza.

Metiendo las cosas en su lugar, la flora y la fauna realmente existentes no son obra de la sola naturaleza. Son, para bien o para mal, el fruto circunstancial de un milenario matrimonio entre la naturaleza y la humanidad, es decir, un producto de la historia. Su autor y actor son un sujeto histórico colectivo: los pueblos, cuyos instrumentos han sido sus culturas y su saber global acumulado que, como empieza a reconocerlo la ecología, atinó más que el presunto conocimiento parcial de los científicos.

La naturaleza sola generó el mar, la jungla (la vegetación espontánea del trópico húmedo) y el monte (ídem en tierra fría o templada), las estepas, los desiertos, etcétera. En el transcurso de la historia, el hombre los ha transformado todos en paisajes: los pueblos pescadores o marineros han trazado rutas océanas, construido puertos y diques, escogido y arreglado playas; los mayas han transformado la jungla en selva; los pueblos agrícolas, el monte en una asociación de bosques y parcelas de cultivo; los pueblos de pastores y cazadores hicieron habitables sus estepas al tratarlas como praderas y pampas; los beduinos, al surcar desiertos, hicieron surgir oasis y tendido rutas con sus cruceros.
La naturaleza real opera históricamente desde su longevo matrimonio con el hombre. El hombre humaniza todo lo que toca, lo civiliza y se lo reapropia. La mano del hombre, donde sea y progresivamente, es visible en todo: en las montañas, en el agua, en el suelo, el cielo y el aire, es decir, transforma el planeta tierra en hogar: la tierra de los hombres, a partir del territorio (su reapropiación por un pueblo) colectivamente elegido para que fuera su tierra allí donde, dadas circunstancias evolutivas, era lo mejor porque su sabiduría lo había optimizado en función de sus deseos, sueños y proyecto de vida.
La fauna humana también no es despreciativo es huésped de la naturaleza y como tal, autor y actor – hasta de calidad- del devenir ecológico.

2.Otras reservas y reapropiación de territorios. La defensa del territorio se inauguró con la proclamación de dos reservas: en El Mayor, en el norte; en el Huitepec, en el sureste. ¿Qué pretende una reserva? ¿Qué se hace con ella? Se pueden examinar los conceptos, opciones y tipos de manejo que acarrea a partir de las reflexiones anteriores.

Una primera opción, hasta ahora la más difundida, es una medida administrativa (por tanto exógena a quienes las habitaban) que elimina el factor humano de la ecología. Crear una reserva es restaurar la naturaleza, entregándola a expertos de la “conservación”. Para que puedan operar se confisca un territorio al pueblo que la ocupaba: para crear en Chiapas la RIBMA (Reserva Integral de la Biosfera de Montes Azules), el gobernador Manuel Velasco Suárez expulsó a los lacandones de su hábitat, concentrándolos en tres nuevos poblados, aunque siguieran siendo los dueños legales de sus 600 mil hectáreas. Treinta años después, otro gobernador, Pablo Salazar Mendiguchía, expulsó a los choles, tzeltales y tzotziles del territorio lacandón (ya reducido a la mitad), cuya administración fue confiada a Conservación Internacional y algunos ambientalistas nacionales que congenian con su fundamentalismo conservacionista; los pueblos indeseables fueron concentrados en tres aldeas estratégicas: en Palenque y en Marqués de Comillas, nuestras reducciones del siglo XXI.

De hecho este conservacionismo es una máscara. Con el mismo discurso ecológico, sus colegas han acabado con el Amazonas en Brasil: el mayor pulmón continental se ha tendido de una red estratégica de autopistas que eliminó la fauna de esta selva convertida en mercancía; cuando se trazó, Ford y Volkswagen se hicieron dueños, cada uno, de 100 mil hectáreas selváticas; el majestuoso río Amazonas en Brasil ya está contaminado a partir de Manaos. En Chiapas quien desembarca del río Lacantún a Montes Azules topa con un gran letrero que anuncia el nuevo color de nuestra selva: Ford Motor Company. Un puente monumental y una carretera pavimentada cruzan el sur de la RIBMA, donde el río Azul se convirtió en chocolatera con riberas pobladas de basura. El discurso conservacionista que se emociona ante la naturaleza es el pasamontañas de Monsanto y otras trasnacionales que prometen bancos de germoplasma, industria transgénica y farmacéutica, biopiratería, o sea, empresas extractivas de riquezas vírgenes de la naturaleza. En los Altos es la misma hipocresía: quienes desafiaron a Zinacantán al promulgar de repente su reserva del Huitepec, en las faldas del pozo artesiano de San Cristóbal, entre sus tres cerros volcánicos de agua (uno de los cuales es el Huitepec), autorizan bancos de arena y grava que convierten en batea babeante de agua nuestro tinaco natural; levantaron un supermercado, un teatro y un “parque” cimentado en humedales, y taponan manantiales bajo la plancha de concreto y de nuevas colonias sin espacio verde, es decir, haciendo imposible la recarga de los mantos freáticos.

La segunda opción es más sutil, se podría calificar de cocacolera. La alusión a esta refresquería viene al caso porque, de hecho, reina sobre las dos reservas creadas por la segunda etapa de la otra campaña: la del Mayor, en el Golfo de California, y la del Huitepec en los Altos de Chiapas. En ambas creó y financia Pronatura, que gestiona reservas forestales en las dos cuencas, en intercambio de lo cual repone con cobertura vegetal eficiente el agua concesionada que surte sus refrescos, le ahorra impuestos por su acción benefactora y tiene voz y voto para la gestión acuífera de estas cuencas, administradas según el clásico balanceo de los ambientalistas: conciliar recursos naturales y superproducción industrial, el imposible matrimonio entre criterios rivales, como diría Wolfgang Sachs. Esta opción no resulta en confiscación y expulsión, es el privilegio vil de un consentido del sistema: el modelo capitalista-empresarial de desarrollo.

La tercera opción es la de la comandanta Kelly. En la vertiente zinacanteca del Huitepec, junto a la Reserva de Pronatura, pero aparte de ella, está la de los zapatistas. Una poderosa esponja vegetal retroalimenta el agua del Huitepec. Dentro de ella, entre espacios tupidos de vegetación espontánea, existen zonas de docta silvicultura: retahílas de robles (árbol que, a diferencia de los pinos, no genera ácido en los suelos, por lo que permite cultivos), de una variedad que acepta la tala sin que desaparezca, propina luz al bosque, y por tanto permite la asimilación clorofiliana de hortalizas o milpas y les ahorra hongos; por su localización forestal, goza de evapotranspiración, es decir, resiste las sequías. De propina regala la leña que todavía necesita la cocina (escandalosamente, pese al gas chiapaneco de Reforma) y, eventualmente, la fabricación y venta de carbón. La variedad de roble escogido hace que, al retoñar, el árbol crezca recto y poderoso (cuando en estado natural, se tuerce en espiral, majestuosamente, pero sin uso posible), lo que ofrece horcones a las casas y hasta buena materia prima a carpinteros. Terminado el periodo escogido de cultivo, los robles siguen desempeñando su papel ecológico, se regenera el tupido tejido vegetal con sus productos espontáneos de consumo corriente entre campesinos: tés, hongos, hierbas medicinales, además de la fauna que hospeda y mejora la dieta.

En la selva Lacandona, antes de que fuera despojada de su producto, primero por las monterías, luego por los chicleros, finalmente por los ganaderos, era lo mismo, como atestiguan todavía espacios poco accesibles a la maquinaria: las caobas y chicozapotes también eran alineados como los robles del Huitepec. Esto no lo hace la naturaleza, sino el saber acumulado de un pueblo, un agente ecológico tan poderoso como la naturaleza. Compatibilizó uso y autorreproducción del bosque, ecología y necesidades básicas con su agrosilvicultura, además de pastoril a veces, por ejemplo sus borregos.



Este criterio corresponde a otra opción y otro concepto de reserva: ni confiscación, ni expulsión, ni máscara, ni otro privilegio que el gozo y el cariño que otorga el territorio: una reapropiación popular y duradera, autosostenible, dicen los ambientalistas, hasta que, ahora, se convierta en blanco de la cancería capitalista en su fase noeoliberal.

Bibliographie

20 bouquins « bases d'appui »
pour celles et ceux qui s'intéressent au Chiapas et à ses luttes




Sur le Mexique en général
*Mexique, entre l'abîme et le sublime, Gaëtan Mortier,Toute Latitude, 2006

Sur les indiens du Chiapas
*Les Tzotzils par eux-mêmes, Réné Aubry, L'Harmattan, 1988*Les Indiens du Chiapas et la forêt Lacandone, Rodolfo Lobato, L'Harmattan,1997
*Irma, femme du Chiapas, Elisabeth Stutz, L'Esprit Frappeur, 1998*Mémoire et Utopie au Mexique (mythes, traditions et imaginaire indigène dans la genèse du néozapatisme), Carlos Matamoros Ponce, Syllepse, 1998



Sur les mouvements révolutionnaires au Mexique
*Le Mexique en armes, guérilla et contre-insurrection, 1943-1981, Laura Castellanos, Lux, 2009
*Révolutions et contre-révolutions au Mexique(1910-2010), James Cockcroft, Syllepse, 2011



Sur le soulèvement zapatiste
*Le rêve zapatiste,Yvon Le Bot, Seuil,1997
*La rebellion zapatiste, Jérôme Baschet, Flammarion, 2002
*EZLN, le feu et la parole, Gloria Muñoz Ramirez, 2003*Ya basta, Tome 1 et 2, Sous-Commandant Marcos, 1994-1996, Dagorno



Sur le zapatisme
*Les leçons politiques du néo-zapatisme, Carlos Antonio Aguirre Rojas, L'Harmattan, 2010
*Néozapatisme, échos et traces des révoltes indigènes, collectif, Syllepse, 2012


Sur Marcos
*Marcos, le maître des miroirs, Manuel Vasquez Mantalbán, Mille et une nuits, 1999

*Marcos, la dignité rebelle, Ignacio Ramonet, Galilée, 2001


De Marcos
*Don Durito de la forêt Lacandone, les Editions de la Mauvaise Graine, 1999
*Contes mayas, l'Esprit Frappeur, 2001
*Calendrier de la résistance, Rue des Cascades, 2007
*Saisons de la digne rage, présentation J. Baschet, Climats, 2009
   
Contre la capitalisme et pour l'humanité
*Crack-capitalisme, de John Holloway, Libertalia, 2012



et



Irma, femme du Chiapas entre révolte zapatiste et vie quotidienne.Elisabeth Stutz................Editions:L'esprit frappeur 1998
excellent petit livre ou "comment vit et ce que pense une femme se trouvant au coeur d'un conflit dont elle est partie prenante mais qui la dépasse". extrait
Mémoire et Utopie au Mexique : Mythes, traditions et imaginaire indigène dans la genèse du néozapatisme Fernando Matamoros Ponce.Editions Syllepse 1998
Société civile et zapatisme .Jorge Javier Elorriaga .Editions Syllepse collection Tlalticpac 1998
Feu Maya : le soulèvement au Chiapas .Aurore Monod .L'Harmattan Ethnies n° 16-17 1994
A l’ombre de Zapata .Marie-José Nadal. Editions du Félin 1995
Depuis les montagnes du Sud-Est mexicain.tome I.L'insomniaque 1994
Depuis les montagnes du Sud-Est mexicain.. tome II L'insomniaque 1996
Ya basta ! tome I .Sous-Commandant Marcos .Editions Dagorno 1994
Ya basta ! tome II .Sous-Commandant Marcos . Editions Dagorno 1996
La guerre des ombres ...Alma Guillermoprieto . Editions Dagorno
Zapata est vivant .Guiomar Rovira ..............Editions Reflex 1996
Las mujeres de maïz ..... Guiomar Rovíra ............ photo : Frida HartzEdition Era 1997
Le rêve zapatiste ... Sous-Commandant Marcos.Yvon Le Bot .Seuil 1997
Mexique:De Chiapas à la crise finançiére.....Collectif.. L'Harmattan 1996
Ces hommes sont avant tout nos frères ....... Danielle Miterrand ...Ramsay 1996
Tendre venin .......... Nicolas Arraitz...... . Edition du Phéromone 1995
Cronicas intergalacticas EZLN Primer Encuentro Intercontinental por la Humanidad y contra el Neoliberalismo Chiapas México 1996 ... Edition Planeta Tierra 1996
Chroniques intergalactiques EZLN Première Rencontre Intercontinentale pour l'Humanité et contre le Néolibéralisme Chiapas Mexique 1996 ........ Edition française Aviva Presse 1997
Chiapas: la rebelion indigena de México... Carlos Montemayor .. Edition Joaquin Mortiz 1997
EI tercer vlnculo . Carlos Fazio .........Edìtion Joaquin Mortiz 1996
La guerra de baja intensidad en México ..... M. P. Lopez A......... Edition Plaza y Valdes 1996
Discusion sobre la historia .Adolfo Gilly Subcomandante Marcos Carlo Ginzburg .................................................Edìtíon Taurus 1995
Los AItos de Chiapas: la voz de las armas .... César Romero Jacobo....... Edition Planeta 1994
Relatos El viejo Antonio........ Subcomandante Marcos ... Ediciones del CIACH, San Cristobal, 1998.
Testimonios de una comunidad tojolabal : San Miguel Chiptic....... Gemma Van Der Haar et Carlos Lenkersdorf.....Siglo ventiuno editores, Mexico D.F., 1998
Cuentos para una soledad desvelada: textos del Subcomandante Insurgente Marcos. Ediciones del Frente Zapatista de Liberacion Nacional, Mexico D.F., 1998.
Derecho indigena y cultura constitucional en América..... Bartolomé Clavero....Siglo ventiuno editores, Mexico D.F., 1994


INCONTOURNABLE POUR COMPRENDRE... Mexique - Notre chute dans la modernité Adolfo Gilly Editions Syllepse 1992
La Révolution mexicaine 1910-1920 .Adolfo Gilly Editions Syllepse Paris 1995
Mexique - Notre chute dans la modernité Adolfo Gilly Editions Syllepse 1992
lire l'.Avant-propos. de ce livre par..... Véronique Giraud et Yves Sintomer...
Le rêve mexicain ou la pensée interrompue........ J.M.G. Le Clézio .... Gallimard Essais 1988
Politiques néolibérales et acteurs ruraux au Mexique..........Centre d'Etudes .Comparatives sur le Développement (CECOD) coordinatrice ...........Marguerite Bey............L'Harmattan1998
Les Indiens du Chiapas et la Forêt Lacandon......Rudolfo Lobato.. Editions L'Harmattan 1997
Les ONG ; instruments du néo-libéralisme ou alternatives populaires ? ...................Centre Tricontinental ..........................Editions L'Harmattan 1998
LES 100 Portes de l'Amérique Latine: Les dates. Les chiffres. Les noms. Les faits. Les cartes.Maurice Lemoine .Collection Points d'appui. Les Editions de l'Atelier/Editions ouvrières. Paris . 1997
Mondes rebelles tome 1 pages 19 à 43 .Jean-Marc Balancie Arnaud de La Grange ...Editions Michalon
 extrait
Les luttes armées en Amérique Latine .Alain Gandolfi ....PUF 1991
Violence de la modernité en Amérique latine : indianité, société et pouvoir .Yvan Le Bot .Editions Kharthala 1994
Mexique : de Chiapas à la crise financière - Collectif Editions L'Harmattan 1996
 extrait
L'Économie informelle au Mexique. De la sphère domestique à la dynamique macroéconomique,F. Roubaud ORSTOM/Karthala, Paris, 1994.
Le Mexique à l'aube du 3e millénaire....M.-F. Schapira, J. Revel Mouroz (coord.) - ................................................IHEAL, Paris, 1993
Géopolitique du chaos  Ignacio Ramonet ... Editions Galilée Paris 1997
Géopolitique du Mexique   Alain Musset  Editions Complexe, Bruxelles
Amérique latine: les défis de la mondialisation...... La revue internationale et stratégique....Edition IRIS Presse, Paris, septembre 1998. http://www.iris-france.org
La citoyenneté sociale en Amérique latinCollectif de l'Université Libre de Bruxelles ............................................... Edition L'Harmattan 1995
Amérique latine : tournant de siècle ...... Collectif ...... Editions La Découverte & Syros 1997
Le Mexique : de la réforme néo-libérale à la contre-révolution, la présidence de Carlos Salinas de Gortari 1988 - 1994 ...... Henri Favre Marie Lapointe..... Edition L'Harmattan 1997
Mexico aujourd'hui, la plus grande ville du monde C. Bataillon , L. Panabiere ................................Publisud, Paris, 1988.
"La lente et inéluctable démocratisation du système politique mexicain".......G. Couffignal....Universalia 1996, Paris, 1996.
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La Frontière États-Unis/Mexique. Mutations économiques, sociales et territoriales...P. Gondard , J. Revel - Mouroz.............IHEAL, Paris, 1995.
La guerre des Dieux : Religion et politique en Amérique latine ..............Michael Löwy ...................Editions du Félin Paris 1998
Pancho Villa et !a révolution mexicaine Manuel Plana .Casterman-Giunti coll. XX siècle 1993
Villa, Zapata et le Mexique en feu  Bernard OudinDécouvertes Gallimard n° 54
Les révolutions d’Amérique Latine   Pierre Vayssière Points Seuil 1991
L’utopie désarmée : I’Amérique Latine après la guerre froide............. Jorge G. Castaneda ............................Grasset 1993
La dictature libérale.Jean-Christophe Rufin .......... Pluriel J.C. Lattès 1994
Quetzalcoatl et Guadalupe : la formation de la conscience nationale au Mexique..... Jacques Lafaye.................................. Gallimard 1974
La Ecologia, Chiapas y el articulo 27:hacia una modernizacion rural alternativa... Victor M. Toledo... Ediciones Quinto Sol, Mexico D.F., 1994


Les TzoIzil par eux-mêmes ........ André Aubry ........L'Harmattan 1988
Parlons Tzeltal : une langue Maya du Mexique . . Aurore Monod-Becquelin . L'Harmattan 1998
Les hommes véritables: Paroles et témoignages des Tojolabales, Indiens du Chiapas ...........Carlos Lenkersdorf ............ Edition Ludd 1998
" Ces pages révèlent la magie cachée dans une des langues mayas. Pour les Tojolabales, la pensée réside dans le cœur. Pour dire "je pense ", ils disent : " mon cœur dit ". Ce livre a le mérite du langage qu'il étudie. Il analyse le langage des Tojolabales en profondeur et avec une intelligence lucide ; loin d'être une œuvre de chirurgie glacée, c'est l’hommage passionné et passionnant que l'auteur rend à la culture que ce langage exprime : une culture sans commandants ni commandés, qui circule entre égaux et parle d’égal à égal à la nature dont elle fait partie."
Eduardo Galeano
Gente de Chiapas .....André Aubry .....................Inaremac 1989
Les Mayas ..... Paul Gendrop ..........................PUF Que sais-je 1978
Mayas : la passion des ancêtres, le désir de durer ........Collectif ........................... ..................Editions Autrement, sérìe "Monde" n°56
Contribution à l’étude de Ia tradition orale maya.......Didier Boremanse ... L'Harmattan 1986
La moitié du monde : Le corps et le cosmos dans le rituel des Indiens otomi ....... ......Jacques Galinier ............................................ PUF 1997
La civilisation indienne .. Paul Radin .............................Editions Payot 1953
Le Mexique : les Mayas.L'univérs des formes : le monde précolombien Gallimard 1986
Les cités perdues des Mayas...Claude Baudez Sydney Picasso ...............................................Découvertes Gallimard N° 20
L'art maya et sa calligraphie .... Michael D. Coe. Justin Kerr.. Editions de La Martinière 1997
Breaking the Maya Code .Michael Coe ......Penguin Books 1992
The Ancient Maya  Sylvanus Morley .......Stanford University Press 1946
The blood of Kings: Dynasty and Ritual in Maya Art.................. Linda Schele , Mary Ellen Miller Thames and Hudson, London 1992
Dynasty and ritual in Maya Art Mary Ellen Miller Thames and Houston 1992
Libro de Chilam Balam de ChumayeI ... ......Universidad nacional Autonoma de México 1973
La politica indigenista en México ..tomo I * ............Gonzala Aguirre Bettran
La politica indigenista en México .tomo II * ....Ricardo Pozas Arciniega ...................................................Instituto Nacional Indigenista 1954
Voces indigenas Alba Guzman Gomez ...Instituto Nacional Indigenista 1991
La organizacion social de los Tzeltales .... .Victor Manuel Espada Jimero .............................................Instituto Chiapaneco de Cultura 1994
El Popol Vuh en el pincel magico de X’un Gallo ....... ............Gobierno Constitucional del Estado de Chiapas 1992
Planos de interaccion del mundo tzotzil .George A. Collier ..........................................................Instituto Nacional Indigenista 1976
Cuentos y relatos indigenas .. Universidad Nacional Autonoma de México 1994
Medicina en los Altos de Chiapas . .... William Holland....Instituto Nacional Indigenista 1963
Nosotros los curanderos . .Roberto Campos Navarro ...Nueva Imagen 1997

Mexique .....Xavier Pommeret .....................................Petite Planète 1964
Le Mexique ... Marc Humbert ......................PUF " Que sais-je" Paris 1994
Le Mexique, ...J. Monnet ................................................. Nathan, Paris, 1994.
Le Mexique..... A. Musset ................Masson, coll. "Géographie", Paris, 1992.
Le Mexique.. A. Musset ....................................Armand Colin, Paris, 1996.
Histoire de la ville de Mexico....S. Gruzinski...................Fayard, Paris, 1996.
Quetzacoatl à travers les cuItures et les mystères du Mexique Susana Caron - Diffusion Traditionnelle 1993
L’Amérique précolombienne Jonathan Norton .Leonard Editions Time-Life 1968
L'art précolombien .José Alcina FranchCitadeIles et Mazenod 1978
Le signe et le grimoire : essai sur l'art mexicain ..... Octavio Paz...... Editions Gallimard1995


Le Labyrinthe de la solitude.Octavio Paz ......Gallimard Essais 1972
Pédro Paramo .Juan Rulfo .........L'Imaginaire Gallimard 1959
Poèmes indiens.Miguel Angel Asturias .........Poésie Gallimard 1965
Légendes du Guatemala..Miguel Angel Asturias ........... Folio 1624
Hommes de maïs .Miguel Angel Asturias Albin Michel 1970
Une poétesse mexicaine du XVll siècle, Sor Juana Inès de la Cruz.......Paris 1954
El Diosero .Franscisco Rojas Gonzalez .Edition Fondo De Cultura Economica 1995

Viva Chiapas : la drôle de révolution des zapatistes.... ........... Sous-commandant Marcos Wolinski Olivier Cyran ..................................................................Hors série Charlie Hebdo
Chiapas tomo 1 * Instituto de investigaciones economicas Universidad Nacional Autonoma de México 1995
Chiapas tomo 2 * Universidad Nacional Autonoma de México 1995
Chiapas tomo 3 * Universidad Nacional Autonoma de México 1996
Chiapas tomo 4 * Universidad Nacional Autonoma de México 1997
Los primeros acuerdos de Sacam Ch'en .. ..........Ce-Acatl avr-96
La Ruta Maya.National Geographic N° 4 October 1989
Pays Maya : Sur les traces d'une civilisation millénaire ........Grands Reportages N°194 mars 1998
Chiapas: le piège. Photos de Pierre de Vallombreuse..... GEO n° 236 octobre 1998
"Changer le monde sans prendre le pouvoir ?" Contretemps n° 6, 2003
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"Le fascisme libéral", Sous-commandant Marcos, in Le Monde diplomatique, août 2000
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"Une internationale zapatiste ?" in Les Temps maudits n° 1, 1997
"Chiapas. Dialogue pour la dignité". Cahiers marxistes, Bruxelles, 1998


La véridique légende du sous-commandant Marcos ....... ...Tessa Brissac Carmen Castillo
La voix des Sans-voix.... .Baptiste Dentiger, Grégory Gallmann, Virginie Schauinger .........(distribué par Balthazar Films B.P.3 67690 .......Hatten.....)
Les Sans-Visage du Chiapas ........Thierry Zéno 1997 (Shadow Box : 89, rue Le Lorrain 1080 Bruxelles Belgique)
Témoignage de l'ejido Morelia. Chiapas ................(distribué en français par Hesiode 93 La Canebière Marseille)
Los mas pequenos ....... colectivo perfil urbano ........ (distribué en français par Hesiode 93 La Canebière Marseille)
Chiapas : la otra guerra ....* .............Canal 6 de Julio
Todos somos Marcos ......* .................Canal 6 de Julio
La guerra de Chiapas .....* .................CanaI 6 de Julio
Suenos y palabras sabias de las comunidades Tzotziles y Tzeltales..... ...... ..................................................................Carlos Martinez Suarez
Paroles zapatistes contre l'injustice (2003). Promedios (San Cristobal de las Casas, Chiapas ; distribué en France par Grégory Gallmann, 3, rue Pargaminières, 31000 Toulouse) 
Le Silence des zapatistes (2001) ; Le Potager de Zapata (2002) ; La Guerre de la peur (2002). Promedios 
Un chemin vers l'espoir : mémoire et résistance des déplacés de guerre du Chiapas (2001). Promedios 
Le Silence des zapatistes (2001) ; Défendre les forêts : la lutte des paysans écologistes du Guerrero (2000). Promedios 
Le Mur de Taniperla. Dominique Berger. 1999 (RTBF)
Chronique d'un village tzotzil. Thierry Zéno. 1995 
Témoignage de l'ejido Morelia. Chiapas. 1994 (distribué en français par Hesiode : 93, la Canebière, 13001 Marseille)
·
La Véridique Légende du sous-commandant Marcos. Tessa Brisac et Carmen Castillo. 1994

Viva Zapata ! Elia Kazan. 1952

El café :la riqueza que producinos los pobres del campo ......Taller experìmental de video
Les Mexicains ..............................National Geographic Video
Les royaumes perdus des Mayas .......................National Geographic Video


HISTOIRE, ESSAIS ET DOCUMENTS

· L'Etincelle zapatiste. Insurrection indienne et résistance planétaire. Jérôme Baschet. Denoël, "Essais", 2002
· Hommes de maïs, cœurs de braise. Cultures indiennes en rébellion au Mexique. Ouvrage collectif. L'insomniaque, 2002
· Indiens : Chiapas, Mexico, Californie (catalogue de l'exposition de La Villette). Yvon Le Bot. Indigène éditions, 2002
· Terre & liberté ! Raconte-moi la rébellion des Indiens zapatistes… Ouvrage collectif (adressé aux enfants) coordonné par Michel Wéry. Quinoa, Bruxelles, 2001
· Le Mythe de la raison. Georges Lapierre. L'insomniaque, 2001
· La Fragile Armada. La marche des zapatistes. Ouvrage collectif. Métailié, 2001
· Et la forêt se déplaça… En marche avec les zapatistes. Nadège Mazars et Damien Fellous. Noesis, "Moisson rouge", 2001
· La Rébellion indigène du Mexique. Violence, autonomie et humanisme. Carlos Montemayor. Syllepse, "Coyoacan", 2001
· Marcos, la dignité rebelle. Ignacio Ramonet. Galilée, 2001
· Invitation au voyage. Rencontre avec des indigènes zapatistes. Ouvrage collectif. Reflex, 1999
· Indiens et zapatistes. Mythes et réalités d'une rébellion en sursis. Bernard Duterme. Editions Luc Pire, Bruxelles, 1998
· Contes mayas. Sous-commandant Marcos. L'esprit frappeur, 2001
· Société civile et zapatisme. Javier Elorriaga. Syllepse, "Tlalticpac" 1998
· Chiapas. Les comptes d'une rébellion. Antonio Garcia de Leon. Syllepse, "Tlalticpac", 1996
· Emiliano Zapata. John Womack. La Découverte, 1997
· Le Mexique insurgé. John Reed. Le Seuil, 1996
· Villa, Zapata et le Mexique en feu. Bernard Oudin. Gallimard, "Découvertes", 1989
· Mémoire et utopie au Mexique. Mythes, traditions et imaginaire indigène dans la genèse du néozapatisme. Fernando Matamoros. Syllepse, 1998
· Les Indiens du Chiapas et la forêt Lacandone. Rodolfo Lobato. L'Harmattan, 1997
· Mayas. La passion des ancêtres, le désir de durer. Alain Breton et Jacques Arnauld. Autrement, 1997
· Le Rêve mexicain ou la pensée interrompue. J.M.G. Le Clézio. Gallimard, "Folio", 2000
· Poussières mexicaines. Pino Cacucci. Payot, "Petite bibliothèque voyageurs", 1992
· Les Barrières de la solitude. San José, village mexicain. Luis Gonzalez. Plon, "Terre humaine", 1977
· Les Veines ouvertes de l'Amérique latine. Eduardo Galeano. Plon, "Terre humaine", 1981
· Mémoire du feu. 3 tomes. Eduardo Galeano. Plon, 1985


LITTERATURE

· La Révolte des pendus. Traven. 10/18, 1997
· Indios. Traven. 10/18, 1990
· La Charrette. Traven. 10/18, 1987
· Rosa Blanca. Traven. 10/18, 1991
· Le Visiteur du soir (nouvelles). Traven. Stock, "Bibliothèque cosmopolite", 1991
· Le Christ des ténèbres. Rosario Castellanos. Gallimard, 1994
· Les Etoiles d'herbe. Rosario Castellanos. Gallimard
· Zapata, suivi de Viva Zapata !. John Steinbeck. Gallimard, 2003
· Pedro Paramo. Juan Rulfo. Gallimard, "L'Imaginaire", 1993
· Le Llano en flammes. Juan Rulfo. Gallimard, 2001
· Légendes du Guatemala. Miguel Angel Asturias. Gallimard, "Folio", 1996
· Hommes de maïs. Miguel Angel Asturias. Albin Michel, 1970
· Romans, nouvelles et poèmes. Malcolm Lowry. Le Livre de poche, "La Pochothèque", 1995
· Les Tarahumaras. Antonin Artaud. Gallimard, "Folio", 1988
· Messages révolutionnaires. Antonin Artaud. Gallimard, "Folio", 1998
· Canek. Histoire et légende d'un héros maya. Ermilo Abreu Gomez. Editions du Borrégo, 1988
· Pop Wuh. Le Livre des événements. Gallimard, "L'Aube des peuples", 1992
· Les Prophéties du Chilam Balam. Version de J.M.G. Le Clézio. Gallimard, "Le Chemin", 1997
· Livre de Chilam Balam de Chumayel. Traduction de Benjamin Péret. Denoël, 1955 (épuisé)
· Anthologie des mythes, légendes et contes populaires d'Amérique. Benjamin Péret. Albin Michel poche, 1989
· La Commune des Palmares. Benjamin Péret. Syllepse, "Les Archipels du surréalisme", 1999
· Les Amis de Pancho Villa. James Carlos Blake. Rivages, "Thriller", 1999
· Fragments d'une révolution. Sébastien Doubinsky. Actes Sud, 1998